On oppose trop facilement l’altruisme à l’égoïsme comme le bien au mal; si l'on définit l'égoïsme come l'attitude qui consiste à toujours se préférer aux autres, à se porter un amour exclusif, alors en effet l'opposition est  radicale; mais si on le définit par le souci de soi, expression de l'amour de soi généré par la conscience de soi toujours médiée par la conscience des autres, rien ne permet d'affirmer qu'il est logiquement contradictoire  avec le souci, voire le respect et l'amour  des autres; vis-à-vis  de l'attitude altruiste, croyant par là la valoriser, on oublie souvent  que l’homme, conscient de lui-même, ne peut s’oublier tout à fait dans les actes et les intentions qui l’animent , sinon en s’identifiant partiellement ou totalement à celui ou ceux pour lequel il agit; Rousseau, nous le savons, liait étroitement « l’amour de soi » et la « pitié» envers son semblable » comme source naturelle de toute moralité artificielle socialisée. Ainsi convient-il d’ interroger le vécu des "sentiments moraux"  pour dégager cette indissociation et ses effets éthiques, afin de comprendre qu’une certaine condamnation de l’égoïsme au profit d’un pur altruisme sont contre productifs, car contraire au fonctionnement du désir humain qui fonde notre être au monde et aux autres.

S. Reboul

great work Jay Fine

Non en fait aucune critique à venir! Ce film me laisse "sans voix" et non parce qu'il m'a épaté ou quoique ce soit. Simplement, je n'en pense rien. Je ne vois pas en quoi c'est un chef d'oeuvre tout comme Black Swann. Je vois pas en quoi c'est la pièce maîtresse d'Aronofsky. Heureusement que je ne me suis pas déplacée au cinéma :)

Sincèrement, pourquoi est ce que je déteste tout ce que tout le monde aime ?

Why don't you rape me now and hit me now make me feel like I'm nothing at all.

...maintenant tu n'es rien.

Par ailleurs, je vous promets de poster plus régulièrement.
Qui a dit que le camel était total ringard ? Peut être moi. Je l'avoue.
Enfin, je cherche toujours la veste bombardier qui pourrait m'aller (ou me plaire),
Mais je cherche encore...

« La fleur rouge qui pousse au bord de la route » se révela  très décevante. Le jeu des acteurs (en n'insistant pas sur l'affreuse perruque de Hiam Abbass), est quelque peu dérageant. En tout cas ça ne pas convaincu. Les scènes émouvantes avec son papa, ou avec son chéri, etc... eh bien non ca faisait faux. Cependant, les critiques qui affirment ce film comme propagande pro-palestinienne ont tout faux. C'est une histoire vraie et touchante. Après, est ce que Julian Schnabel a enjolivé le côté palestinien? hmm, ... C'est dommage quand même, le début s'annonce bien, puis l'arrivée de cette jeune Miral à l'adolescence déçoit. Ah, l'âge bête ! De plus, c'est tout de même dommage d'avoir fait l'impasse sur toute l'histoire d'amour. Enfin bon, vous allez croire que j'aime les romans à l'eau de rose.
Le film ne m'empêchera toute de même pas de lire l'œuvre originale de Rula Jebreal.
Freida Pinto: peut mieux faire, notamment dans SlumDog Millionaire.

Chers lecteurs/lectrices, (et je vois que vous êtes nombreux)

je vous laisse apprécier Lady Gaga :)

Quant à moi, je retourne à la recherche du parfait indicateur qui un jour mesura la croissance économique ET le bonheur ...

ps: qui m'accompagne au concert de Bruno Mars et de Crystal Castles ?